Jean-Pierre FABRE-BERNADAC,
Président de Place d'armes,
écrit au Ministre de l'Intérieur,
suite au courrier reçu par
Jean-Claude BARTHELEMY,
Coordinateur Régional Ile de France,
de la part du préfet de Seine et Marne.
Ci-dessous, la lettre du préfet, suivie par la réponse de notre Président.
Ei 1981, la France à choisit Mitterrand, j'étais sous/off à la 13 DBLE à Djibouti, les années précédentes, j'étais au 2 REP à Calvi et mon Cdt d'unité de l' époque m'avait dit en prévision de cette élection fatale qu'il faudrait se soumettre ou se démettre! En 1982, arrivé en FDS, je suis rentré en métropole et bien qu'étant au tableau, je me suis démis et n'ai pas renouvellé mon contrat ! Il ne me restait plus qu'une année à effectuer mais j'ai quitté l'institution et la vie militaire qui était mon honneur et ma passion !
Bonjour Monsieur FABRE, j'approuve votre missive et souhaiterai que vous fassiez remonter au Ministre, Monsieur RETAILLEAU, que si des milliers d'indigents en politique lui envoie des "peaux de banane", nous sommes des millions de français à l'approuver et le soutenir. Il y avait si longtemps qu'un politique ne parle ni n'agisse aussi volontairement que lui. La condition essentielle est la confiance enfin revenue vers lui, Platon a dit: "si tu veux connaître ton peuple écoutes sa musique, nous l'espérons en phase...
Ma première réaction, c'est que cette lettre ne me parait pas avoir été rédigée par le Préfet lui-même mais par un de ses multiples adjoints ou délégués administratifs adhérant et cultivant la pratique du laisser-aller ambiant de destruction systématique de notre pays et de ses vraies valeurs françaises depuis 7 ans et perpétués sans états d'âme ni vergogne jusqu'ici par un certain ministre démissionnaire. D'ailleurs, cette missive ne semble pas être signée (du moins telle que vous la présentez) et correspondre du tout au caractère de fierté nationale et d'ordre républicain affirmé par celui-ci dans ses postes précédents; peut-être même ne l'a-t-il pas lu, ou alors en diagonale dans un signataire particulièrement encombré.
Deuxièmement, au delà de votre lettre adressée…
Si la lettre du préfet n'était pas aussi grave, on pourrait en rire. Je pense que nos institutions à la botte de notre très cher président (dette et mise sous tutelle), ne se rendent pas compte de l'état de la France, et font n'importe quoi puisqu'il faut faire quelque chose, peu importe le ridicule des actions.
Elles font supporter aux français leurs fautes, leurs erreurs, et leur demandent de les réparer.
Par exemple moi, détenteur déclaré d'armes de poing et d'épaule à la préfecture de Versailles, ayant participé plusieurs fois au championnat de France (pour y participer il ne faut pas être trop mauvais), j'avais demandé par lettre recommandée le renouvellement de mes détentions lors de mon déménagement en Corse.
Nouveau proverbe :
" Désarmons les Militaires et les vaches seront bien gardées "