Le 12 janvier 2025
La France n’a pas colonisé l’Algérie, ELLE L’A FONDÉE.» (Ferhat Abbas, رحات ف باس ع)(1(.
Chasser les « Pieds-noirs » a été plus qu'un crime, une faute, car notre chère patrie a perdu son identité sociale.
N'oublions pas que les religions, les cultures juives et chrétiennes se trouvaient en Afrique bien avant les Arabo-musulmans... Avec les « Pieds-noirs » et leur dynamisme, l'Algérie serait aujourd'hui une grande puissance méditerranéenne, hélas ! Je reconnais que nous avons commis des erreurs politiques stratégiques. Il y a eu envers les « Pieds-noirs » des fautes inadmissibles, des crimes de guerre envers des civils innocents et dont l'Algérie devra répondre au même titre que la Turquie envers les Arméniens. » (Hocine Aït Ahmed ( .(2)(أحمد آي ت ح س ين
Monsieur le président Abdelmadjid Tebboune, Ce n’est pas un ennemi de l’Algérie qui vous écrit aujourd’hui mais un amoureux du Grand Maghreb. Et il vous écrit pour vous demander d’arrêter vos propos mensongers ou injurieux, vos attaques revanchardes, envers un pays auquel l’Algérie doit…
TOUT ce qui tient encore debout sur son sol. J’en ai assez de supporter les approximations, les contrevérités, les mensonges grossiers, véhiculés – tant du côté algérien que français – sur nos 132 années de colonisation. Je reconnais qu’Emmanuel Macron a cherché le bâton pour se faire battre en déclarant, en février 2017, que la France avait commis un « crime contre l’humanité » en Algérie.
Il n’avait pas à aller à Canossa et à faire repentance car, que cela vous plaise ou non, nous ne devons RIEN à votre pays. L’eurodéputée Sarah Knafo vous a fortement irrité en déclarant que, dans le cadre de l’aide au développement, nous vous donnerions 800 millions d’euros par an. Ce chiffre est inexact : de 2017 à 2022, nous avons donné 842 millions d’euros à l’Algérie, soit 168,4 millions par an. Et pour cette somme pharaonique nous n’avons droit qu’à des injures, des insultes, des menaces ou du mépris. Je suis assez surpris qu’aucun homme politique et aucun journaliste ne fassent le bilan réel de nos 132 ans de colonisation.
Je vais donc le faire brièvement (la liste ci-dessous n’est pas exhaustive) : En matière d’éducation : 800 écoles primaires, 25 lycées, 24 collèges, 1 université (5000 étudiants), et 8 écoles normales. Décollage de la scolarisation des musulmans après la seconde guerre mondiale. 50 % en enseignement primaire (dont 37 % de filles), 25 % en secondaire, 10 % en cycle supérieur.
Effectifs des écoles primaires en 1961 : 109.300 enfants européens scolarisés et 735.000 enfants musulmans (50%). 28.000 instituteurs. Si tous les enfants musulmans avaient été scolarisés, il aurait fallu 25.000 enseignants de plus. Il faut noter que pendant longtemps, vos autorités religieuses ont dénigré l'école laïque, appelée « l'école du diable ». La majeure partie des enfants musulmans était cependant scolarisée. En matière de santé : Capacité des hôpitaux : 4000 lits en 1871, 5000 en 1913, 24000 en 1953. En 1961 : 10.000 lits dans le secteur privé et 38.000 dans le secteur public, comprenant : 1 hôpital de 2000 lits (Alger), 2 hôpitaux de 1000 lits, 112 hôpitaux polyvalents, 14 établissements spécialisés, 9 cliniques privées et un Institut Pasteur à Alger. 1950 médecins civils aidés par 700 médecins militaires, soit un médecin pour 3700 habitants, ce qui est un résultat honorable. 17.000.000 actes médicaux délivrés en 1959 (3). En matière d’agriculture (chiffres de 1950) : 13.000.000 hectares cultivés, dont 75% appartenant aux musulmans, dont 200.000 hectares irrigués. 5.000.000 d'ovins et 3.000.000 de caprins, dont 90% sont la propriété des musulmans. 3.000.000 d'ânes, bovins et chevaux. 11.000.000 de quintaux annuels de blé produits, 8.000.000 d'orge, 1.000.000 d'avoine, 450.000 hectares de vignes, 40.000 hectares de culture maraîchère et fruitière, 20.000 hectares de tabac, 12.000 hectares de betterave, coton, liège et alfa. Industrie agro-alimentaire : Conserveries de poissons, légumes, brasseries, jus de fruits et distilleries (apéritifs). 1 institut agricole à Maison-Carrée. 5 autres écoles dans le pays. Communications terrestres : 54.000 kms de routes nationales et départementales, 24.000 kms de pistes sahariennes. 34 routes nationales pour 156.000 véhicules en circulation (en 1959). 4420 kms de voies ferrées, et 747 kms à voie étroite. 77 locomotives diéso-électriques, 25 autorails, 41 locotracteurs pour les gares, 91 locomotives à vapeur (pour voie étroite), 31 motrices électriques. 500 wagons de voyageurs (dont 60 inox pour voie normale et 33 inox pour voie étroite) et 10.000 wagons pour le fret.
Communications maritimes : 23 ports aménagés dont Alger (4.000.000 de tonnes de fret et 450.000 passagers/an), Oran (2.000.000 de tonnes de fret et 250.000 passagers/an), Arzew: port gazier, et Bougie: port pétrolier. Nombreux ports de pêche de Nemours à La Calle. Communications aériennes : 3 grands aéroports : Alger, Oran et Constantine. 1.000.000 de voyageurs/an. L’aéroport d’Alger Maison-Blanche était, en 1959, le deuxième aéroport de France. -2- De nombreux petits aérodromes, sans compter les bases militaires créées à partir de 1955 comme Boufarik, grosse base d'hélicoptères, ou Aïn-Arnat. Une compagnie aérienne, « Air Algérie », créée en 1945. (6 Caravelles en 1960). 53 aéro-clubs et 460 avions privés. Communications téléphoniques, radio/TV, bureaux de poste : 6 câbles sous-marins. 2 câbles souterrains au Sahara. 4 voies radioélectriques, 1 faisceau hertzien et 4 au Sahara. Outre les stations radio existant depuis les années 20, création d'une station TV à Cap-Matifou en 1954 avec des relais dans toute l'Algérie. 15 centraux téléphoniques, 120.000 postes téléphoniques. 818 bureaux de poste (recette principale, annexe ou agence). 600 agences ou annexes postales dans le bled. Activités minières: Mines de plomb et de zinc, à Sidi-Kamber au nord de Constantine. De marbre à Filfila dans le constantinois et Le Chenoua dans l'algérois. Mines de fer à El-Hallia (constantinois), Zaccar (algérois), Ouenza au sud de Bône. Mine de houille à Kenadza prés de Colomb-Béchar. Mines de phosphate de chaux à Tébessa et Sétif. 3 usines de production chimique à Bône, Maison-Carrée et La Sénia.
Métallurgie: Environ 3000 établissements, dont beaucoup de petits ateliers; en gros 25.000 salariés. Quelques usines spécialisées, telles que : l’acier laminé à La Sénia, tréfilerie de cuivre-alu à Alger. Construction de bâtiments à ossature métallique à Constantine (Ets Duplan). Articles ménagers alu à Bône. Emballages de fer blanc et fûts au Gué de Constantine à Alger. Wagons de chemin de fer à Bône. Electrodes de soudure, Air Liquide à Alger. Fabrication de pylônes électriques à Maison-Carrée et Rouïba. Assemblage de camions Berliet à Rouïba. Aciérie à Bône, achevée en 1961. Bâtiment : 3 cimenteries à Pointe Pescade et Rivet et St Lucien-La Cado. 43 briqueteries-tuileries. Habitat urbain et rural : Dans les années 50, l'office HBM (Habitations à Bon Marché) construit des logements à Bab-El-Oued, Le Ruisseau, Le Clos Salembier, Diar-es-Saâda et Mahcoul. De grandes cités nouvelles voient le jour à Oran, Constantine, Philippeville, Bône, Sétif, Bougie, Blida, Tlemcen, Mostaganem et Bel-Abbés.
À la veille de l'indépendance, le pays possède 274 stades, dont 5 à Oran. Entre 1959 et 1962, il s'est construit 50 à 60.000 logements urbains et 80 à 90.000 ruraux par an destinés aux musulmans. Energie : Il y avait 11 compagnies d'électricité en Algérie au début du 20ème siècle. L’ensemble a été nationalisé, sous le sigle EGA, en 1947. En 1950, on comptait 25 centrales thermiques, dont 6 grosses installées sur les quais d'Oran, Alger et Bône, 27 barrages hydro-électriques, petits, moyens et gros, certains étaient polyvalents (irrigations des terres et alimentation d'eau des villes et villages). 21.800 kms de lignes à haute tension (150 et 60 kva), 250.000.000 de kwh produits en 1940, 1.000.000.000 en 1961. Mais le plus beau fleuron de NOTRE Algérie française reste indéniablement la découverte et la mise en valeur des hydrocarbures au Sahara par les ingénieurs de la « Société Nationale de Recherche Pétrolière en Algérie », (en partenariat avec « Total »), dans les années 50. En 1959, la production de pétrole était de 1.200.000 tonnes et 9.000.000 en 1962. En 1972, lorsque les compagnies pétrolières françaises quitteront le Sahara, il y a 250 puits de pétrole forés. Elles ont construit le premier pipe-line Hassi-Messaoud – Bougie, trouvé du gaz naturel à Hassi R'mel, construit un gazoduc Hassi R'mel – Arzew, une raffinerie à HassiMessaoud puis à Alger, enfin, une usine de liquéfaction de gaz à Arzew…
Pardon pour cette longue et fastidieuse liste mais elle me semblait nécessaire, pour que vous, comme Emmanuel Macron, vous arrêtiez de raconter n’importe quoi sur l’œuvre française en Algérie. Je tiens aussi à dire un mot sur d’autres mensonges véhiculés par les médias, algériens et français. Votre pays compte 45 millions d’habitants et la moitié de cette population a moins de 25 ans. Ces jeunes apprennent très tôt à détester la France car on leur raconte – primo – que tout le peuple algérien s’est levé « comme un seul homme » contre le colonisateur honni et – secundo – que l’Algérie a vaincu la France, ce qui est totalement faux. En 1958, avant le « Plan Challe » l’ALN(4) disposait de 20 à 25 000 combattants et autant d’auxiliaires. En février 1962, juste avant les Accords d’Evian, elle aura moins de 4 000 réguliers et 10 000 moussebilines; dans le même temps, les effectifs des musulmans servant aux côtés de l’Armée française passeront de 30 000 à... 260 000 hommes. Et certains osent encore écrire que « Tous les Algériens étaient derrière le FLN… ».
Foutaise! Les chiffres parlent d'eux-mêmes. L'ALN de l'extérieur, « l’Armée des frontières » qui n’a pas combattu mais qui défilera fièrement au moment de l'indépendance, compte 15 000 hommes en Tunisie et 6 500 hommes au Maroc. La moitié n'est même pas armée, ne sait pas se battre et n'a pas envie d'affronter les paras, la Légion Étrangère ou les « commandos de chasse ». S’il y eut cinq fois plus de musulmans à combattre dans les rangs de l’Armée française que dans ceux de l’ALN, les victimes musulmanes du FLN furent également cinq fois plus nombreuses que les européennes, de 1954 à 1962.
Le FLN, en plus de purges internes, n’a pas fait de cadeau à ses opposants. -3- Parlons des règlements de compte au sein même du FLN ou à l’égard de factions rivales : rien qu’en métropole, les rivalités entre le FLN et le MNA de Messali Hadj feront près de 4 000 morts chez les Nordafricains, 400 dans la population française, et plus de 6 000 blessés. Disons un mot également du bilan chiffré de cette guerre.
La France annonce 30 000 soldats morts en Algérie (dont un tiers par accidents). Ce chiffre est faux! Le nombre de soldats français tués en Algérie, entre 1954 et 1962, est de 24 500, c'est largement suffisant! 250 ou 260 000 musulmans et européens ont été massacrés par le FLN, dont plus de la moitié après l'indépendance (5). Du côté du FLN, officiellement, les pertes seraient de 155 000 hommes: 141 000 tués au combat, 2 000 tués par les armées tunisienne ou marocaine, 15 à 20 000 victimes de purges internes, mais Bouteflika, votre prédécesseur, réclamait à la France un tribut de « plus d'un million de morts », rien que ça ! Mais comment pourrait-on le croire ? Ferhat Abbas révèle, dans « Autopsie d’une guerre », cette remarque du psychiatre gauchiste Frantz Fanon: « Un colonel leur réglera, un jour leur compte (aux dirigeants du FLN). C’est le colonel Boumédiène. Pour lui, le goût du pouvoir et du commandement relève de la pathologie… ». Il faut savoir, en effet, que deux mois à peine après la signature des Accords d’Evian, le Conseil de la Révolution, réuni à Tripoli du 28 mai au 7 juin, vit s’affronter les négociateurs d’Evian et l’état-major de Boumédiène, qui n’avait pas voulu prendre part aux pourparlers afin de pouvoir contester les modalités du cessez-le-feu. Excédés par les remontrances de ce militaire qui ne s’était pas battu, Ben Khedda et d’autres membres du GPRA quittèrent Tripoli pour Tunis.
Boumédiène en profita pour faire adopter un « procès-verbal de carence » condamnant le GPRA. Le 30 juin, veille du référendum, le GPRA dégradait Boumédiène et ses adjoints. Ce dernier répliqua aussitôt: le 22 juillet, il formait avec Ben Bella un « bureau politique » du FLN et décidait de marcher sur Alger avec son « Armée des frontières » devenue, pour la circonstance, « Armée Nationale Populaire ». Cette marche coûtera plusieurs milliers de morts. Sur le passage des troupes, la population scandait: « 7 ans, ça suffit ! ». Le lieutenant Khaled Nezzar écrira plus tard qu’il n’avait jamais vu « autant d’acharnement dans les combats, pas même durant la guerre de libération ». La conclusion de cette dérive catastrophique, on la trouve dans le titre des mémoires de Mohamed Bessaoud: « Heureux les martyrs qui n’ont rien vus ».
Pour conclure, en plus des citations en entête de cet article, je vous invite, monsieur Tebboune, à méditer les propos tenus par des musulmans favorables à l'indépendance de l'Algérie. Citons en premier l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal que vous détenez en prison illégalement. Il a écrit: « En un siècle, à force de bras, les colons ont, d’un marécage infernal, mitonné un paradis lumineux. Seul l’amour pouvait oser pareil défi, … Quarante ans est un temps honnête, ce nous semble, pour reconnaître que ces foutus colons ont plus chéri cette terre que nous, qui sommes ses enfants… ». C’est également lui qui écrivait avec lucidité: « Trente ans après l’indépendance, nous voilà ruinés, avec plus de nostalgiques que le pays comptait d’habitants et plus de rapetoux qu’il n’abritait de colons.
Beaucoup d’Algériens regrettent le départ des « Pieds noirs ». S’ils étaient restés, nous aurions peut-être évité cette tragédie...». Cet avis est partagé par la journaliste algérienne Malika Boussouf qui écrit: « Si les « Pieds noirs » n’étaient pas partis en masse, l’Algérie ne serait peut-être pas dans l’état désastreux dans lequel elle se trouve. » Donnons la parole à Bachir Ben Yamed, directeur de l’hebdomadaire « jeune Afrique » : « A son indépendance, nul pays extérieur au monde occidental, Japon et Afrique du Sud exceptés, ne disposait d'une infrastructure aussi développée que celle de l'Algérie... ».
Jugement identique chez Ferhat Abbas, cité plus haut, quand il déclare : « l’œuvre de la France est admirable! Si la France était restée vingt ans de plus elle aurait fait de l'Algérie l'équivalent d'un pays européen. » Il devait ajouter sur le tard : « La France a commis un crime : elle a livré le peuple algérien aux tueurs et aux assassins. » C'est aussi l'écrivain Belkacem Ibazizen qui déclare : « la scolarisation française en Algérie a fait faire aux Arabes un bond de mille ans. ». Et Abderramane Fares de surenchérir : « S'il est, en Algérie, un domaine où l'effort de la France ne se discute pas, c'est bien celui de l'enseignement. On doit dire que l'école a été un succès…Les vieux maîtres, les premiers instituteurs, ont apporté toute leur foi pédagogique, et leur influence a été extrêmement heureuse. »
Boualem Sansal parle de « tragédie », Bacir Ben Yamed et Aït Hamed de « faute » et de « crime ». Est-il besoin d’en rajouter ? La France a TOUT donné à l’Algérie qui a connu un essor considérable, rendant riche et fertile une terre inculte.
Alors de grâce, monsieur Tebboune, arrêtez de raconter que le peuple algérien a subi pendant 132 ans un colonialisme tortionnaire et brutal. -4- Nous sommes, vous et moi, de la même génération - vous êtes né en 1945 et moi en 1949 - vous savez pertinemment que ce que vous dîtes est faux, mais vos attaques virulentes contre la France masquent l’incapacité des dirigeants algériens à sortir le pays du marasme.
L’Algérie est (était ?) un pays riche grâce aux hydrocarbures découverts par la France, mais ce pays ne décolle pas à cause de l’incompétence et de la corruption endémique qui gangrènent les hautes sphères de son administration et du pouvoir. Plus de 60 ans après son accession à l’indépendance, l’Algérie exporte massivement chez nous une jeunesse qui nous déteste mais qui, plutôt que de crever de faim dans son pays, vient chercher les subsides que nous lui allouons sans compter. Il serait temps que l’on arrête d’engraisser des ingrats !
Comme beaucoup de Français – de plus en plus nombreux ! – je pense qu’il faudrait dénoncer les accords iniques de 1968 et refuser dorénavant les visas d’entrée aux ressortissants algériens. Il faudrait aussi refouler les Algériens qui occupent et encombrent nos prisons (à hauteur de 30% des détenus, me dit-on) et cesser toutes subventions ou aides au développement à l’Algérie. Je vous dis ça, monsieur Abdelmadjid Tebboune, sans la moindre haine, sans la moindre rancœur, sans la moindre animosité. Vous ne manquez jamais une occasion de critiquer, de dénigrer ou de menacer la France. Je voudrais simplement que mon pays fasse preuve, enfin, de lucidité et pratique la… réciprocité.
Eric de Verdelhan.
1)- Fondateur de l’Union Démocratique du Manifeste Algérien (UDMA), rallié au Front de Libération Nationale (FLN) durant la guerre d'Algérie, président du premier Gouvernement Provisoire de la République Algérienne (GPRA) de 1958 à 1961.
2)- L’un des chefs historiques du FLN algérien.
3)- Source : Guy Augusti, médecin en Algérie.
4)- ALN : Armée de Libération Nationale, le bras armé du FLN.
5)- « Les mensonges de la guerre d’Algérie » de Jacques Demougin; Cide; 2005 et « Autopsie de la guerre d'Algérie » de Philippe Tripier; France-Empire; 1972.
L'Algérie interdit la Chrétienté chez elle, interdisons l' Islam chez nous
Rien à redire, sauf que les turc ne massacre pas que les Arméniens, mais aussi les kurdes, le fait apparament que les turc s'installe en Syrie n'est pas pour arranger les choses, l'Algérie à toujours été colonisée, seul la France l'a sorti de là,on voit ce que cela donne.
Merci monsieur pour ce brillant et détaillé plaidoyer, mais comme tout plaidoyer il souffre parfois de quelques imprécisions : non sur le plan historique on ne peut pas écrire (même si c'est Fehrat Abbas qui le dit ) que la France a fondé l'Algérie ; oui elle a créé les frontières algériennes en 1830 mais l'État algérien a été créé par l'Algérie indépendante en 1962.
En revanche, la France a créé les départements français d'Algérie et non l'État algérien et donc l'Algérie.
Pour les sommes versées à l'Algérie socialiste vous avez raison c'est la somme cumulée des années 2027-2022 qui correspond à un peu plus de 800 millions, à noter que l'état Français donne encore plus à la Chine, pa…
Merci Monsieur Eric de Verdelhan !
Il faudrait que vos écrits soient lus à l'école, par nos enfants de toutes origines pour essayer de rattraper la vérité.
Merci monsieur Abdelmadjid Tebboune
de votre commentaire qui claque le bec de notre président qui ne connaît pas son histoire pour avoir dit autant d’âneries, merci pour ces réalité mal connue et oubliée, par ignorance en France . J’ai vécu dans ce merveilleux pays que la France a mis sur un pied par des barrages, des routes, des ports, des aéroports enfin toute une infrastructure qui aujourd’hui périclite
Mais laissons le temps au temps et peut-être que demain notre pays (la France) sera placer là où elle mérite
Alias= Edmond Pays