Nous avons reçu dans notre boîte à lettres ce courrier du colonel Péré, président de la Fédération des Opex en France. Accablant pour le régime, et pour ses différents CEMA…
« La grande illusion » Les acteurs du DRAME (Tragédie en quatre actes et 10 scènes) Les leçons de « La grande Illusion »
Enfin, mais de façon inattendue surtout de la part des services de renseignement français, la guerre déclenchée en Ukraine révèle dans sa totalité l’état désastreux de notre Défense conventionnelle, depuis trop longtemps dissimulé.
Depuis 1995, les responsables politiques de notre pays, chefs de l’État, Premiers ministres, ministres de la Défense ou des Armées, en particulier, successifs, par leur mépris constant de la chose militaire, leur méconnaissance voire le déni de notre Histoire, leur vision partiale d’une politique étrangère étriquée, le non-respect des lois de programmation militaires dûment votées par le Parlement, l’abandon consenti de l’industrie d’armement et de munitions, le délitement de l’esprit patriotique, ont créé les conditions de notre affaiblissement.
Mais c’est dès 1990 que Laurent Fabius alors président de l’Assemblée nationale fut le premier à évoquer et à promouvoir Les « dividendes de la paix » pour demander une baisse conséquente du budget militaire étant alors entendu que l’URSS éclatée, son armée ne représenterait plus une menace.
Cependant, le mur de Berlin venait à peine de tomber que se profilait la guerre de libération du Koweït, et l’éclatement de l’ex-Yougoslavie mettait la guerre à seulement deux heures de vol de Paris. Puis les attentats du 11 septembre 2001, les guerres en Afghanistan et en Irak, l’essor des groupes djihadistes au Sahel, l’opération française en Libye, la déstabilisation de ce pays et de ses voisins, les tensions au Moyen-Orient, et dans la région indo-pacifique, l’émergence de l’État islamique au Levant etc. ont pu faire dire au général de Villiers, ancien CEMA, que ces fameux « dividendes de la paix » n’étaient qu’une tragique illusion.
J’ai souhaité ici, alors que le temps qui passe efface de grands pans de notre mémoire, mettre un nom sur chacun des responsables politiques dont certains aujourd’hui encore occupent des fonctions majeures au sein de grandes institutions républicaines, aux postes de responsabilité de grandes entreprises publiques ou privées, ou pérorent comme consultants dans les médias complaisants pendant que d’autres, de livres en livres, justifient sans vergogne leurs actions ou inactions passées et se répandent en conseils et avis désormais aussi inconvenants qu’inutiles.
Hommes politiques responsables assurément mais qu’en est-il des chefs d’état-major des armées (CEMA) pendant cette période ? Depuis 1995, les CEMA qui auraient dû être les conseillers militaires avisés et déterminés auprès des gouvernants se sont révélés être des généraux ou amiraux cinq étoiles timorés, à ce point subjugués par le pouvoir politique à qui ils devaient promotion et nomination, qu’ils entérinaient sans coup férir, voire même prévenaient les multiples et incessantes suppressions de régiments, de bases aériennes et de forces navales et la cession de nombreuses infrastructures de soutien ou d’entrainement.
Les CEMA se contentaient de gérer la pénurie, de différer voire d’annuler les commandes étriquées de matériels, d’armements, d’équipements et au contraire de prolonger au mépris des coûts exorbitants de maintenance, des matériels obsolètes et n’assurant plus la protection des personnels embarqués. Premiers dispensateurs de la pensée unique, ils n’hésitaient pas à sanctionner les cadres qui avaient le courage de s’affranchir de cette dictature.
Afin de calmer « la troupe » désemparée, ils n’avaient de cesse de prôner le respect de la discipline, d’imposer l’esprit de sacrifice et de multiplier les cérémonies de dissolution et de transfert au cours desquelles l’émotion dissimulait le dépit parmi les cadres et les soldats pétrifiés par le chagrin. Leur attitude (à l’exception notable de celle du général Pierre de Villiers en 2017) consistait à faire accepter un budget en constante régression et de se montrer aux yeux d’un pouvoir politique qui n’en demandait pas tant, comme les serviles collaborateurs d’une gigantesque entreprise de démolition nationale.
Le démantèlement organisé de notre outil de défense cumulé avec la suppression de la conscription a cassé de façon irréversible le lien Armée-Nation entretenu par les actions admirables de générations de chefs de corps exercées au sein des villes, des départements, des régions.
Cette tragédie s’appelle la Grande Illusion, elle comporte 4 actes (comme 4 présidents de la République) et 10 scènes (comme 10 Premiers ministres).
Colonel Daniel PÉRÉ Chevalier de la Légion d’honneur Chevalier de l’Ordre national du Mérite Croix du combattant Président de la Fédération des Opex de France
Série de vidéos du GRAND JURY,
dans lesquelles l'avocat Reiner Fuellmich, avec un collectif de juristes et de scientifiques, présentent à l'opinion internationale, la conspiration de crimes contre l'Humanité, montée par les très grandes oligarchies...
Conspiration montée à partir d'un virus bidon, à grands renforts de manipulations, de falsifications en tous genres, de terrorisme mental sur les populations, dans le but d'inoculer au Monde entier des soupes biologiques à la composition rigoureusement secrète et aux effets inconnus, mais dont on sait, rien que d'après les chiffres officiels (largement sous-enregistrés), rien qu'en Europe, et en seulement 14 mois, ces mixtures ont généré 40 800 morts, et beaucoup plus de graves infirmes...
On sait aussi que cette conspiration planétaire, a…
TEMPLUX
A.C. je suis et demeure au service de ma France pas celle de ce jeune prétentieux ,meme pas de service national c'est simple nous n'avons qu'un candidat c'est ZEMOUR a la hauteur
Ces politicards aussi minables les uns que les autres, ont progressivement ruinés la France et bien évidemment l'Armée. Depuis le vol des votes des Français contre l'UE, tout est fait pour la détruire.
La politique nationale est désormais gérée par des petits mecs gris, comme les appelle Pierre Yves Rougeyron.
5 ans de plus avec Macron et sa clique, je crains le pire pour notre pauvre pays.
Le Macron a la France et les français en horreur. Seule l'EU et ses idées "progressiste" wokistes, LGBT et autres décadences l'intéressent.
Bon courage.
Les dépenses ? On tentera de se rembourser sur les fondations françaises en Andorre le seul paradis fiscal dont on ne parle jamais, gouverné par un évêque et dont notre président : laïc, est coprince
Depuis au moins cinquante ans, la quasi totalité de nos dirigeants ne pense qu'à liquider la France; la dissoudre dans l'u.e., elle-même colonie pour l'éternité des Etats-Unis (qui peuvent remercier la Russie, désormais la quasi totalité des pays d'europe, déjà soumis, s'ils pouvaient devenir des états des États-Unis l'accepteraient. Ils en sont réduits au choix de leur maître, celui qui présente le mieux et dont la laisse a plus de mou et est moins visible). Toutes les crises (covid 19, guerre russo-ukrainienne, etc.) leur servent à accentuer et justifier la disparition de la France (après l'europe de la santé, l'europe de la défense). Quand on veut tuer la France, on l'accuse de toutes les faiblesses qu'ils ont eux-mêmes provoquées au…